Jean LANDOUAR, 1780–1814?> (âgé de 33 ans)
- Nom
- Jean /LANDOUAR/
- Prénom(s)
- Jean
- Nom de famille
- LANDOUAR
Naissance
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven |
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Baptême
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Note : Parrain GUEGUEN Jean et Marraine CALVEZ Geneviève. |
Naissance d’une sœur
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven |
Baptême d’une sœur
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Note : Parrain SOURIMAN Jean et Marraine GUEGUEN Marie. |
Décès d’une sœur
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven |
Enterrement d’une sœur
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Note : Présents: SOURIMAN Jean, GUEGUEN Marie, LACHIVER Guillaume, LE GALL Pierre |
Baptême d’un frère
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Note : Parrain Sieur Jean LE BAIL Syndic et Capitaine du Guet et Marraine LE FLOCH Anne Marie Marthe. |
Naissance d’un frère
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven |
Décès d’un frère
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven |
Enterrement d’un frère
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Présent(e) : Guillaume LANDOUAR (âgé de 30 ans) — père Note : Présents: LE FLOCH Anne Marie Marthe, LE GALL Pierre. |
Baptême d’un frère
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Parrain : Guillaume LE GUEN (âgé de 28 ans) — oncle par alliance Note : Marraine GORVE Marie Jeanne. |
Naissance d’un frère
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Adresse : Moulin de la Boulaye - Lieu-dit Convenant Person - Frairie de Treven |
Famine
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Révolution
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Régime politique
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Régime politique
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Régime politique
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Décès de la grand-mère paternelle
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Régime politique
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Mariage d’un frère
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Note : Acte non trouvé dans CG22 |
Mariage d’un frère
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attending : Guillaume LANDOUAR (âgé de 45 ans) — père —
beau-père
attending : Catherine SCOLAN (âgée de 45 ans) — belle-mère —
mère
Note : Présents: LE LANEDEC François, SOUVESTRE Jean Jacques. |
Empereur des Français
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Mariage civil
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attending : Allain MEUROU (âgé de 66 ans) — beau-père —
père
attending : Guillaume LANDOUAR (âgé de 50 ans) — père —
beau-père
attending : Guillaume LANDOUAR (âgé de 23 ans) — cousin germain —
cousin germain de l’époux
attending : Marie LE DANTEC (âgée de 49 ans) — belle-mère —
mère
Note : 18 Pluviose An XIII. L'époux Jean est meunier à Plounérin. |
Naissance
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Profession
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Employeur : Moulin du Verre Note : Naissance de sa fille Marie Jeanne. |
Naissance d’une fille
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Adresse : Moulin du Verre Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 25 ans) — père Témoin : Guillaume LANDOUAR (âgé de 51 ans) — grand-père paternel |
Décès du père
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Déclarant : Claude LANDOUAR (âgé de 62 ans) — cousin issu de germain |
Décès de la mère
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Naissance
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Naissance d’un fils
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Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 27 ans) — père Note : Témoins: LE BLEVENNEC François, KERIVEL Yves. |
Naissance
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Profession
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Employeur : Moulin Marques Note : Naissance de sa fille Marie. |
Naissance d’une fille
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Adresse : Moulin Marques Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 29 ans) — père Témoin : Pierre Thurien Hilaire DRONIOU (âgé de 48 ans) — Relation Note : Témoin HINTAUF Jean. |
Mariage d’un frère
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attending : Jean LE NEUDER (âgé de 56 ans) — beau-père —
père
Note : Présents: LE JEUNE François, POHER Guillaume, LE FUSTEC Jean Marie. Le marié demeure à Callac. |
Naissance
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Naissance d’un fils
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Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 31 ans) — père Note : Témoins: GEFFROY Joseph, ALBERT Jean Baptiste Florentin. |
Guerre d' Empire
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Soldat au 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne de la Grande Armée
7 avril 1813
Note : Matricule 12212 remplace Simon "Jer" conscrit. Au corps du 7.04.1813. Description physique: taille 1m64, visage rond, front haut, yeux roux, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, cheveux et sourcils noirs. Fusillier à la 2ème compagnie du 6ème bataillon du 15ème régiment de Ligne de la Grande armée, il entre à l'hôpital militaire d'Erfut dit Korboden le 15.11.1813 et décède le 14.01.1814 des suites de fièvre. Inscrit sur le registre de Plounévez-Moédec le 6 Décembre 1814. |
Guerre d' Empire
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Note : Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose. Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose. Dans la nuit du 26 au 27 août les effectifs de Napoléon atteignent les 100 000 hommes. À un contre deux, Napoléon attaque le 27 août, tourne l’aile droite alliée, et remporte une éblouissante victoire tactique. C'est un terrible échec pour les coalisés, mais Napoléon, qui est malade, doit quitter précipitamment le champ de bataille, et n'en profite pas. Les troupes alliées parviennent à fuir avant de se faire encercler, et peuvent rééquilibrer la balance de leur côté en remportant trois victoires successives après Dresde et en capturant le général Vandamme, qui s'était aventuré trop en avant avec trop peu d'hommes. Dresde reste la dernière grande victoire de Napoléon. Son vieux rival à l'époque du Directoire, Moreau, qui a rallié l'armée russe, est tué par un boulet français lors de cette bataille. |
Guerre d' Empire
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Note : Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers. Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers. Cette défaite met un terme à la campagne d’Allemagne : vaincus, les restes de l'armée française3 se replient sur le Rhin, où les hommes doivent pouvoir se reposer en vue de la poursuite des opérations. Après cette défaite lourde de conséquences4, Napoléon laisse 20 000 hommes pour défendre les forteresses qui restent en Allemagne et revient en France avec 70 000 hommes. Pour la population de Mayence, c'est une catastrophe car les soldats, épuisés, sales et malades, amènent avec eux une épidémie de typhus. L'épidémie fera jusqu'au printemps 1814 environ 17 000 victimes parmi les soldats et 2 400 dans la population (soit près de 10 % des habitants) dont le préfet André Jeanbon Saint André. |
Décès d’un frère
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Adresse : Lieu-dit De Laboissier section de même nom. Personne associée : Jean LANDOUAR (âgé de 33 ans) — petit frère Note : Témoins: Yves LE ROY (44ans, cousin, cultivateur à Plounévez-Moëdec) et Jacques PERSON (25ans, cultivateur à Plounévez-Moëdec). Son frère Jean soldat de la Grande armée est décédé la veille à Erfut en Allemagne des suites de fièvre. |
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media/LANDOUAR Jean X 7.02.1805 (18 Pluviose An 13) LE MEUROU Marguerite.jpg |
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media/LANDOUAR Jean + 14.01.1814 (enregistré le 6.12.1814) (P290).jpg |
Décès
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Cause du décès : Fièvre (Typhus probablement)
Adresse : Hôpital militaire d'Erfut dit Korboden Personne associée : Jean Marie LANDOUAR (âgé de 35 ans) — grand frère Note : Son frère Jean Marie décèdera le lendemain à Plounévez Moëdec. |
Décès
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Inscription mortuaire
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Retranscription de l' acte de décès
6 décembre 1814
Note : Hôpital militaire d' Erfut dit Kornboden, du Registre des décès du dit hôpital, il a été extrait ce qui suit: Le Sieur LANDOUAR Jean Fuisllier à la 2éme Compagnie du 10ème Bataillon du 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne, natif de Plaumaret du Département des Côtes-du-Nord, entré au dit hôpital le 15 du mois de Novembre 1913, y est décédé ce jour d'hui 14 du mois de janvier 1914 par suite de fièvre. Les soussignés Directeur de l' Hôpital militaire d' Erfut dit Korenboden, certifie le présent extrait véritable et confirme au Registre des décès du dit hôpital à Erfut le 14 janvier 1814.. VALLET. Nous commissaire des guerres chargés de la Police miliatire de l' Hôpital d' Erfut dit Kornboden certifions que la signature du dit VALLET ci dessus est celle de Monsieur VALLET Directeur du dit hôpital et que foi doit être ajoutée. A Erfut, le 14 janvier 1814. |
père |
1754–1806
Naissance : 23 février 1754
35
22
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loguivy-Plougras 22131 Décès : 15 avril 1806 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
---|---|
mère |
1746–1806
Naissance : 11 avril 1746
34
22
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loc-Envel 22129 Décès : 24 avril 1806 — FRANCE;Bretagne;Finistère;Plounévézel 29205 |
Mariage religieux | Mariage religieux — 24 février 1772 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loc-Envel 22129 |
11 mois
grand frère |
1773–1773
Naissance : 7 janvier 1773
18
26
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plougonver 22216 Décès : 7 avril 1773 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plougonver 22216 |
14 mois
grand frère |
1774–…
Naissance : 17 février 1774
19
27
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 |
2 ans
grand frère |
1776–…
Naissance : 26 mars 1776
22
29
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 |
3 ans
grand frère |
1778–1814
Naissance : 2 septembre 1778
24
32
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 14 janvier 1814 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
21 mois
lui |
1780–1814
Naissance : 3 juin 1780
26
34
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 14 janvier 1814 — ALLEMAGNE;Erfurt |
18 mois
petite sœur |
1781–1781
Naissance : 23 novembre 1781
27
35
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 26 novembre 1781 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 |
21 mois
petit frère |
1783–1784
Naissance : 19 août 1783
29
37
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 25 mai 1784 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 |
4 ans
petit frère |
1787–1854
Naissance : 29 mai 1787
33
41
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 14 janvier 1854 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
lui |
1780–1814
Naissance : 3 juin 1780
26
34
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227 Décès : 14 janvier 1814 — ALLEMAGNE;Erfurt |
---|---|
épouse |
1781–1840
Naissance : 30 janvier 1781
42
25
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 Décès : après 1840 |
Mariage civil | Mariage civil — 7 février 1805 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
13 mois
fille |
1806–…
Naissance : 17 février 1806
25
25
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
21 mois
fils |
1807–…
Naissance : 27 octobre 1807
27
26
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
2 ans
fille |
1809–…
Naissance : 13 novembre 1809
29
28
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
2 ans
fils |
1812–…
Naissance : 1 janvier 1812
31
30
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
époux de l’épouse |
1783–…
Naissance : 1 novembre 1783
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plouaret 22207 |
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épouse |
1781–1840
Naissance : 30 janvier 1781
42
25
— FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 Décès : après 1840 |
Mariage civil | Mariage civil — 15 janvier 1815 — FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228 |
Baptême |
Parrain GUEGUEN Jean et Marraine CALVEZ Geneviève. |
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Mariage civil |
18 Pluviose An XIII. L'époux Jean est meunier à Plounérin. |
Profession |
Naissance de sa fille Marie Jeanne. |
Profession |
Naissance de sa fille Marie. |
Guerre d' Empire |
Matricule 12212 remplace Simon "Jer" conscrit. Au corps du 7.04.1813. Description physique: taille 1m64, visage rond, front haut, yeux roux, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, cheveux et sourcils noirs. Fusillier à la 2ème compagnie du 6ème bataillon du 15ème régiment de Ligne de la Grande armée, il entre à l'hôpital militaire d'Erfut dit Korboden le 15.11.1813 et décède le 14.01.1814 des suites de fièvre. Inscrit sur le registre de Plounévez-Moédec le 6 Décembre 1814. |
Guerre d' Empire |
Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose. Dans la nuit du 26 au 27 août les effectifs de Napoléon atteignent les 100 000 hommes. À un contre deux, Napoléon attaque le 27 août, tourne l’aile droite alliée, et remporte une éblouissante victoire tactique. C'est un terrible échec pour les coalisés, mais Napoléon, qui est malade, doit quitter précipitamment le champ de bataille, et n'en profite pas. Les troupes alliées parviennent à fuir avant de se faire encercler, et peuvent rééquilibrer la balance de leur côté en remportant trois victoires successives après Dresde et en capturant le général Vandamme, qui s'était aventuré trop en avant avec trop peu d'hommes. Dresde reste la dernière grande victoire de Napoléon. Son vieux rival à l'époque du Directoire, Moreau, qui a rallié l'armée russe, est tué par un boulet français lors de cette bataille. |
Guerre d' Empire |
Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers. Cette défaite met un terme à la campagne d’Allemagne : vaincus, les restes de l'armée française3 se replient sur le Rhin, où les hommes doivent pouvoir se reposer en vue de la poursuite des opérations. Après cette défaite lourde de conséquences4, Napoléon laisse 20 000 hommes pour défendre les forteresses qui restent en Allemagne et revient en France avec 70 000 hommes. Pour la population de Mayence, c'est une catastrophe car les soldats, épuisés, sales et malades, amènent avec eux une épidémie de typhus. L'épidémie fera jusqu'au printemps 1814 environ 17 000 victimes parmi les soldats et 2 400 dans la population (soit près de 10 % des habitants) dont le préfet André Jeanbon Saint André. |
Décès |
Son frère Jean Marie décèdera le lendemain à Plounévez Moëdec. |
Inscription mortuaire |
Hôpital militaire d' Erfut dit Kornboden, du Registre des décès du dit hôpital, il a été extrait ce qui suit: Le Sieur LANDOUAR Jean Fuisllier à la 2éme Compagnie du 10ème Bataillon du 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne, natif de Plaumaret du Département des Côtes-du-Nord, entré au dit hôpital le 15 du mois de Novembre 1913, y est décédé ce jour d'hui 14 du mois de janvier 1914 par suite de fièvre. Les soussignés Directeur de l' Hôpital militaire d' Erfut dit Korenboden, certifie le présent extrait véritable et confirme au Registre des décès du dit hôpital à Erfut le 14 janvier 1814.. VALLET. Nous commissaire des guerres chargés de la Police miliatire de l' Hôpital d' Erfut dit Kornboden certifions que la signature du dit VALLET ci dessus est celle de Monsieur VALLET Directeur du dit hôpital et que foi doit être ajoutée. A Erfut, le 14 janvier 1814. |
Naissance | |
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Baptême | |
Mariage civil | |
Guerre d' Empire | |
Guerre d' Empire | |
Décès | |
Inscription mortuaire | |
Objet média
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media/LANDOUAR Jean - grande armée.pdf |