Jean LANDOUAR, 17801814 (âgé de 33 ans)

Nom
Jean /LANDOUAR/
Prénom(s)
Jean
Nom de famille
LANDOUAR
Naissance
Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven
Baptême
Note : Parrain GUEGUEN Jean et Marraine CALVEZ Geneviève.
Naissance d’une sœur
Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven
Baptême d’une sœur
Note : Parrain SOURIMAN Jean et Marraine GUEGUEN Marie.
Décès d’une sœur
Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven
Enterrement d’une sœur
Note : Présents: SOURIMAN Jean, GUEGUEN Marie, LACHIVER Guillaume, LE GALL Pierre
Baptême d’un frère
Note : Parrain Sieur Jean LE BAIL Syndic et Capitaine du Guet et Marraine LE FLOCH Anne Marie Marthe.
Naissance d’un frère
Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven
Décès d’un frère
Adresse : Moulin de la Boulaye - Convenant Person - Frairie de Treven
Enterrement d’un frère
Présent(e) : Guillaume LANDOUAR (âgé de 30 ans) — père
Note : Présents: LE FLOCH Anne Marie Marthe, LE GALL Pierre.
Baptême d’un frère
Parrain : Guillaume LE GUEN (âgé de 28 ans) — oncle par alliance
Note : Marraine GORVE Marie Jeanne.
Naissance d’un frère
Adresse : Moulin de la Boulaye - Lieu-dit Convenant Person - Frairie de Treven
Famine
Famines entrainant la révolution française
1788
Révolution
Révolution française
de 5 mai 1789 à 9 novembre 1799
Régime politique
Monarchie Constitutionnelle
4 septembre 1791
Régime politique
Ire République
22 septembre 1792
Régime politique
Directoire
26 octobre 1795
Décès de la grand-mère paternelle
Régime politique
Consulat
9 novembre 1799
Mariage d’un frère
Note : Acte non trouvé dans CG22
Mariage d’un frère
attending : Guillaume LANDOUAR (âgé de 45 ans) — père beau-père
attending : Catherine SCOLAN (âgée de 45 ans) — belle-mère mère
Note : Présents: LE LANEDEC François, SOUVESTRE Jean Jacques.
Empereur des Français
Napoléon Ier
18 mai 1804
Mariage civil
attending : Allain MEUROU (âgé de 66 ans) — beau-père père
attending : Guillaume LANDOUAR (âgé de 50 ans) — père beau-père
attending : Marie LE DANTEC (âgée de 49 ans) — belle-mère mère
Note : 18 Pluviose An XIII. L'époux Jean est meunier à Plounérin.
Naissance
Profession
Employeur : Moulin du Verre
Note : Naissance de sa fille Marie Jeanne.
Naissance d’une fille
Adresse : Moulin du Verre
Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 25 ans) — père
Témoin : Guillaume LANDOUAR (âgé de 51 ans) — grand-père paternel
Décès du père
Déclarant : Claude LANDOUAR (âgé de 62 ans) — cousin issu de germain
Décès de la mère
Naissance
Naissance d’un fils
Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 27 ans) — père
Note : Témoins: LE BLEVENNEC François, KERIVEL Yves.
Naissance
Profession
Employeur : Moulin Marques
Note : Naissance de sa fille Marie.
Naissance d’une fille
Adresse : Moulin Marques
Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 29 ans) — père
Témoin : Pierre Thurien Hilaire DRONIOU (âgé de 48 ans) — Relation
Note : Témoin HINTAUF Jean.
Mariage d’un frère
attending : Jean LE NEUDER (âgé de 56 ans) — beau-père père
Note : Présents: LE JEUNE François, POHER Guillaume, LE FUSTEC Jean Marie. Le marié demeure à Callac.
Naissance
Naissance d’un fils
Déclarant : Jean LANDOUAR (âgé de 31 ans) — père
Note : Témoins: GEFFROY Joseph, ALBERT Jean Baptiste Florentin.
Guerre d' Empire
Soldat au 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne de la Grande Armée
7 avril 1813
Note : Matricule 12212 remplace Simon "Jer" conscrit. Au corps du 7.04.1813. Description physique: taille 1m64, visage rond, front haut, yeux roux, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, cheveux et sourcils noirs. Fusillier à la 2ème compagnie du 6ème bataillon du 15ème régiment de Ligne de la Grande armée, il entre à l'hôpital militaire d'Erfut dit Korboden le 15.11.1813 et décède le 14.01.1814 des suites de fièvre. Inscrit sur le registre de Plounévez-Moédec le 6 Décembre 1814.
Guerre d' Empire
Bataille de Dresde
27 août 1813
Note : Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose.

Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose.

Dans la nuit du 26 au 27 août les effectifs de Napoléon atteignent les 100 000 hommes. À un contre deux, Napoléon attaque le 27 août, tourne l’aile droite alliée, et remporte une éblouissante victoire tactique. C'est un terrible échec pour les coalisés, mais Napoléon, qui est malade, doit quitter précipitamment le champ de bataille, et n'en profite pas. Les troupes alliées parviennent à fuir avant de se faire encercler, et peuvent rééquilibrer la balance de leur côté en remportant trois victoires successives après Dresde et en capturant le général Vandamme, qui s'était aventuré trop en avant avec trop peu d'hommes. Dresde reste la dernière grande victoire de Napoléon. Son vieux rival à l'époque du Directoire, Moreau, qui a rallié l'armée russe, est tué par un boulet français lors de cette bataille.
Lien Wiki: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Dresde

Guerre d' Empire
Bataille des Nations ou de Leipzig
16 octobre 1813
Note : Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers.

Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers.

Cette défaite met un terme à la campagne d’Allemagne : vaincus, les restes de l'armée française3 se replient sur le Rhin, où les hommes doivent pouvoir se reposer en vue de la poursuite des opérations. Après cette défaite lourde de conséquences4, Napoléon laisse 20 000 hommes pour défendre les forteresses qui restent en Allemagne et revient en France avec 70 000 hommes. Pour la population de Mayence, c'est une catastrophe car les soldats, épuisés, sales et malades, amènent avec eux une épidémie de typhus. L'épidémie fera jusqu'au printemps 1814 environ 17 000 victimes parmi les soldats et 2 400 dans la population (soit près de 10 % des habitants) dont le préfet André Jeanbon Saint André.
Lien Wiki: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Leipzig_(1813)

Décès d’un frère
Adresse : Lieu-dit De Laboissier section de même nom.
Personne associée : Jean LANDOUAR (âgé de 33 ans) — petit frère
Note : Témoins: Yves LE ROY (44ans, cousin, cultivateur à Plounévez-Moëdec) et Jacques PERSON (25ans, cultivateur à Plounévez-Moëdec). Son frère Jean soldat de la Grande armée est décédé la veille à Erfut en Allemagne des suites de fièvre.
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media/LANDOUAR Jean ° 3.06.1780 (P382).jpg
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media/LANDOUAR Jean X 7.02.1805 (18 Pluviose An 13) LE MEUROU Marguerite.jpg
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media/LANDOUAR Jean + 14.01.1814 (enregistré le 6.12.1814) (P290).jpg
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Décès
14 janvier 1814 (âgé de 33 ans)
Cause du décès : Fièvre (Typhus probablement)
Adresse : Hôpital militaire d'Erfut dit Korboden
Personne associée : Jean Marie LANDOUAR (âgé de 35 ans) — grand frère
Note : Son frère Jean Marie décèdera le lendemain à Plounévez Moëdec.
Décès
Inscription mortuaire
Note : Hôpital militaire d' Erfut dit Kornboden, du Registre des décès du dit hôpital, il a été extrait ce qui suit: Le Sieur LANDOUAR Jean Fuisllier à la 2éme Compagnie du 10ème Bataillon du 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne, natif de Plaumaret du Département des Côtes-du-Nord, entré au dit hôpital le 15 du mois de Novembre 1913, y est décédé ce jour d'hui 14 du mois de janvier 1914 par suite de fièvre. Les soussignés Directeur de l' Hôpital militaire d' Erfut dit Korenboden, certifie le présent extrait véritable et confirme au Registre des décès du dit hôpital à Erfut le 14 janvier 1814.. VALLET. Nous commissaire des guerres chargés de la Police miliatire de l' Hôpital d' Erfut dit Kornboden certifions que la signature du dit VALLET ci dessus est celle de Monsieur VALLET Directeur du dit hôpital et que foi doit être ajoutée. A Erfut, le 14 janvier 1814.
Famille avec les parents
père
media/LANDOUAR Guillaume + 15.04.1806 (P357).jpg
17541806
Naissance : 23 février 1754 35 22 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loguivy-Plougras 22131
Décès : 15 avril 1806FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
mère
LE GUILLOU Marguerite ° 11.04.1746 (p317).jpg
17461806
Naissance : 11 avril 1746 34 22 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loc-Envel 22129
Décès : 24 avril 1806FRANCE;Bretagne;Finistère;Plounévézel 29205
Mariage religieux Mariage religieux24 février 1772FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Loc-Envel 22129
11 mois
grand frère
media/LANDOUAR Grégoire Marie ° 7.01.1773 (P245).jpg
17731773
Naissance : 7 janvier 1773 18 26 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plougonver 22216
Décès : 7 avril 1773FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plougonver 22216
14 mois
grand frère
media/LANDOUAR Pierre ° 17.02.1774 (P223).jpg
1774
Naissance : 17 février 1774 19 27 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
2 ans
grand frère
media/LANDOUAR Allain ° 26.03.1776 (P280).jpg
1776
Naissance : 26 mars 1776 22 29 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
3 ans
grand frère
media/LANDOUAR Jean Marie + 15.05.1814 (P284).jpg
17781814
Naissance : 2 septembre 1778 24 32 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 14 janvier 1814FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
21 mois
lui
media/LANDOUAR Jean ° 3.06.1780 (P382).jpg
17801814
Naissance : 3 juin 1780 26 34 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 14 janvier 1814ALLEMAGNE;Erfurt
18 mois
petite sœur
media/LANDOUAR Marie Anne ° 23.11.1781 (P413).jpg
17811781
Naissance : 23 novembre 1781 27 35 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 26 novembre 1781FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
21 mois
petit frère
media/LANDOUAR Guillaume ° 19.08.1783 (P471).jpg
17831784
Naissance : 19 août 1783 29 37 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 25 mai 1784FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
4 ans
petit frère
media/LANDOUAR Guillaume Marie + 14.01.1854 (P319).jpg
17871854
Naissance : 29 mai 1787 33 41 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 14 janvier 1854FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
Famille avec Marguerite MEUROU
lui
media/LANDOUAR Jean ° 3.06.1780 (P382).jpg
17801814
Naissance : 3 juin 1780 26 34 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounérin 22227
Décès : 14 janvier 1814ALLEMAGNE;Erfurt
épouse
media/LANDOUAR Jean X 7.02.1805 (18 Pluviose An 13) LE MEUROU Marguerite.jpg
17811840
Naissance : 30 janvier 1781 42 25 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
Décès : après 1840
Mariage civil Mariage civil7 février 1805FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
13 mois
fille
media/LANDOUAR Marie Jeanne ° 17.02.1806 (P387).jpg
1806
Naissance : 17 février 1806 25 25 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
21 mois
fils
media/LANDOUAR Yves X 1.07.1840 VAUCELLE Anne.jpg
1807
Naissance : 27 octobre 1807 27 26 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
2 ans
fille
media/LANDOUAR Marie ° 13.11.1809 1-2 (P101) .jpg
1809
Naissance : 13 novembre 1809 29 28 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
2 ans
fils
media/LANDOUAR Joseph Marie ° 1.01.1812 (P219).jpg
1812
Naissance : 1 janvier 1812 31 30 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
Joseph LE CLOAREC + Marguerite MEUROU
époux de l’épouse
media/MEUROU Marguerite X 15.01.1815 LE CLOAREC Joseph (P185).jpg
1783
Naissance : 1 novembre 1783 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plouaret 22207
épouse
media/LANDOUAR Jean X 7.02.1805 (18 Pluviose An 13) LE MEUROU Marguerite.jpg
17811840
Naissance : 30 janvier 1781 42 25 FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
Décès : après 1840
Mariage civil Mariage civil15 janvier 1815FRANCE;Bretagne;Côtes-d'Armor;Plounévez-Moëdec 22228
Baptême

Parrain GUEGUEN Jean et Marraine CALVEZ Geneviève.

Mariage civil

18 Pluviose An XIII. L'époux Jean est meunier à Plounérin.

Profession

Naissance de sa fille Marie Jeanne.

Profession

Naissance de sa fille Marie.

Guerre d' Empire

Matricule 12212 remplace Simon "Jer" conscrit. Au corps du 7.04.1813. Description physique: taille 1m64, visage rond, front haut, yeux roux, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, cheveux et sourcils noirs. Fusillier à la 2ème compagnie du 6ème bataillon du 15ème régiment de Ligne de la Grande armée, il entre à l'hôpital militaire d'Erfut dit Korboden le 15.11.1813 et décède le 14.01.1814 des suites de fièvre. Inscrit sur le registre de Plounévez-Moédec le 6 Décembre 1814.

Guerre d' Empire

Bataille de Dresde. Alors que les alliés battent les maréchaux de Napoléon dans le nord et dans le sud de l'Allemagne, celui-ci réunit ses forces pour une bataille à Dresde, où le corps de Gouvion-Saint-Cyr résiste face aux forces autrichiennes de Schwarzenberg. Après une série de victoires contre les maréchaux de Napoléon, Schwarzenberg a en effet décidé de se diriger vers Dresde pour prendre la capitale de la Saxe. Durant les premiers combats, Schwarzenberg, qui dispose d'une très grande supériorité numérique sur le corps de Gouvion-Saint-Cyr, met le maréchal dans une position très délicate qui l'oblige à demander l'aide de Napoléon. Napoléon, qui ne veut pas que la capitale saxonne tombe aux mains de ses ennemis, doit alors abandonner son plan initial de prendre l'armée de Bohême de Schwarzenberg en tenaille entre ses propres forces et le corps de Gouvion-Saint-Cyr à Dresde. Il remplace ce plan par un autre consistant à attirer Schwarzenberg au plus près des murs de Dresde, et à relancer ensuite une puissante contre-offensive afin de vaincre Schwarzenberg. Pour réussir ce plan, il laisse Vandamme en arrière garde et arrive à Dresde le 26 août, où il résiste avec le peu d'hommes dont il dispose.

Dans la nuit du 26 au 27 août les effectifs de Napoléon atteignent les 100 000 hommes. À un contre deux, Napoléon attaque le 27 août, tourne l’aile droite alliée, et remporte une éblouissante victoire tactique. C'est un terrible échec pour les coalisés, mais Napoléon, qui est malade, doit quitter précipitamment le champ de bataille, et n'en profite pas. Les troupes alliées parviennent à fuir avant de se faire encercler, et peuvent rééquilibrer la balance de leur côté en remportant trois victoires successives après Dresde et en capturant le général Vandamme, qui s'était aventuré trop en avant avec trop peu d'hommes. Dresde reste la dernière grande victoire de Napoléon. Son vieux rival à l'époque du Directoire, Moreau, qui a rallié l'armée russe, est tué par un boulet français lors de cette bataille.
Lien Wiki: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Dresde

Guerre d' Empire

Napoléon décide alors de se replier vers Leipzig, car c'est le seul endroit où il peut encore tenir. Le 16 octobre il concentre 177 000 hommes dans Leipzig, alors que les coalisés commencent la bataille avec la plupart de leurs armées et une partie de leurs corps, qui comptent environ 300 000 hommes. Au bout d'une journée de combat, Napoléon déplore plus de pertes que les coalisés mais résiste sur la plupart des fronts et retient les forces austro-prusso-russes, avec près de 20 000 morts ou blessés contre 18 000 morts ou blessés. Le 17 octobre, les coalisés reçoivent le renfort des armées de Pologne et du Nord, et alignent alors plus de 400 000 hommes. Les combats continuent et sont toujours aussi meurtriers de chaque côté jusqu'à ce que les Saxons fassent défection et tirent sur les soldats napoléoniens alors que ceux-ci résistaient vaillamment comme plusieurs régiments allemands. Ceci donnat l’expression « être comme un Saxon » pour se comporter en traître. Le 18 octobre, Napoléon ordonne la retraite et ses pertes sont bien inférieures aux alliés et passe un pont sur l'Elbe. Alors que les troupes de l'empereur passent le pont, celui-ci saute, soit par une bombe soit par les tirs de canons ennemis. Cette destruction bloque 15 000 hommes sur l'autre rive, qui seront soit massacrés, soit faits prisonniers.

Cette défaite met un terme à la campagne d’Allemagne : vaincus, les restes de l'armée française3 se replient sur le Rhin, où les hommes doivent pouvoir se reposer en vue de la poursuite des opérations. Après cette défaite lourde de conséquences4, Napoléon laisse 20 000 hommes pour défendre les forteresses qui restent en Allemagne et revient en France avec 70 000 hommes. Pour la population de Mayence, c'est une catastrophe car les soldats, épuisés, sales et malades, amènent avec eux une épidémie de typhus. L'épidémie fera jusqu'au printemps 1814 environ 17 000 victimes parmi les soldats et 2 400 dans la population (soit près de 10 % des habitants) dont le préfet André Jeanbon Saint André.
Lien Wiki: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Leipzig_(1813)

Décès

Son frère Jean Marie décèdera le lendemain à Plounévez Moëdec.

Inscription mortuaire

Hôpital militaire d' Erfut dit Kornboden, du Registre des décès du dit hôpital, il a été extrait ce qui suit: Le Sieur LANDOUAR Jean Fuisllier à la 2éme Compagnie du 10ème Bataillon du 15ème Régiment d' Infanterie de Ligne, natif de Plaumaret du Département des Côtes-du-Nord, entré au dit hôpital le 15 du mois de Novembre 1913, y est décédé ce jour d'hui 14 du mois de janvier 1914 par suite de fièvre. Les soussignés Directeur de l' Hôpital militaire d' Erfut dit Korenboden, certifie le présent extrait véritable et confirme au Registre des décès du dit hôpital à Erfut le 14 janvier 1814.. VALLET. Nous commissaire des guerres chargés de la Police miliatire de l' Hôpital d' Erfut dit Kornboden certifions que la signature du dit VALLET ci dessus est celle de Monsieur VALLET Directeur du dit hôpital et que foi doit être ajoutée. A Erfut, le 14 janvier 1814.