Yves Marie LANDOUAR, 1888–1945?> (âgé de 57 ans)
Naissance
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Adresse : 51, rue des Brebis Note : Déclaration Etat civil le 8 avril 1888. Témoins: Yves Marie BESCOND (32ans, cultivateur à Plouézoch), signe, Frédéric DUPLAN (58ans, concierge Place Thiers à Morlaix, signe) |
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Profession
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Adresse : Corps de garde du Yaudet |
Naissance d’un frère
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Adresse : rue des brebis Note : Témoins: MARREC François (39ans, marchand rue du mur à Morlaix), DUPLAN Frédéric (60ans, concierge place Thiers à Morlaix). |
Décès de la grand-mère paternelle
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Adresse : Lieu dit Luziviky Note : Déclarants: Yves MINEC (47ans,, cultivateur) et HENNEQUIN Mathieu (27ans, cultivateur) |
Naissance d’une sœur
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Note : Mention marginale: marié le 4.11.1925 à Carantec avec Jacques Marie LE SAOUT.
Note : Témoins: François Marie BESCOND (29ans, cultivateur à Plouézoc'h), Noël QUEMENER (55ans, journalier, demeurant rue Gambetta). |
6ème président de la République Française
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7ème président de la République Française
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Naissance d’une sœur
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8ème président de la République Française
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Naissance d’un frère
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Décès de la grand-mère maternelle
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Adresse : Lieu dit Pouldu Note : Témoins:MORVAN Yves Marie (25ans, cultivateur, voisin), LE RU Jean François (36ans, cultivateur, voisin). |
Séparation des Églises et de l’État Française
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9ème président de la République Française
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10ème président de la République Française
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11ème président de la République Française
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12ème président de la République Française
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Parti Communiste Français
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Note : Congrès de Tours |
Mariage d’une sœur
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13ème président de la République Française
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Mariage d’un frère
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Décès d’un frère
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14ème président de la République Française
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15ème président de la République Française
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Profession
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Adresse : Pointe de Séhar |
Front populaire
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Note : https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_populaire_%28France%29 |
Guerre civile
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Note : https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Espagne |
Arrestation
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Note : Arrêté sur dénonciation |
Déportation
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Adresse : Camp de concentration Note : Le train part de Compiègne (60) le 24.01.1943 , liens utiles: Le train part de Compiègne (60) le 24.01.1943 , liens utiles: De 1936 à 1945, on estime que 200 000 personnes y ont été internées et que 100 000 y sont mortes. En août 1941, un massacre de masse y a eu lieu avec l'exécution de plus de 13 000 soldats soviétiques, prisonniers de guerre. En dehors des baraquements communs, le camp possédait des baraquements de détention destinés aux personnalités. Parmi celles-ci, on citera :
C'est dans ce camp que Himmler installa son état-major et que l'inspection centrale des SS fit expérimenter ses méthodes d'extermination avant de les faire appliquer dans les autres camps. À la différence de beaucoup d'autres camps nazis, Sachsenhausen fut un camp où peu de juifs furent envoyés. En effet, on y internait essentiellement des prisonniers dits politiques. Des ressortissants de nombreuses nationalités y furent internés, y compris des résistants français. Les détenus étaient utilisés pour l'effort de guerre des nazis et travaillaient alors dans des conditions extrêmement pénibles dans des petites unités souvent extérieures au camp principal et constituant des camps annexes, appelés kommandos. Outre des travaux de manufacture (menuiserie), certains prisonniers devaient réparer le matériel de guerre allemand. Fin avril 1945, le camp fut libéré par l'Armée rouge. De nombreux prisonniers étaient morts entre temps au cours de l'une des nombreuses marches de la mort. Il restait environ 3 000 survivants au camp dont la moitié de femmes. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le camp de Sachsenhausen fut occupé par les Soviétiques, qui y internèrent des petits fonctionnaires du régime nazi et des opposants au régime communiste de 1945 à 1950. On estime à 12 000 le nombre de morts lors de cette période, dus essentiellement aux épidémies et aux mauvaises conditions de détention. Ce camp, qui a été transformé en mémorial (Gedenkstätte, lieux de souvenirs), couvre une superficie de 600 hectares. Source Wikipédia :http://fr.wikipedia.org/wiki/Sachsenhausen Pour en savoir plus: |
Guerre
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Note : https://fr.wikipedia.org/wiki/Seconde_Guerre_mondiale |
Régime politique
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Transfert
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Adresse : Camp de concentration Note : D'abord camp de travailleurs, camp d'entrainement de la Wehrmacht, puis dépôt de matériel et d'armes, il est transformé en camp d'internement de prisonniers de guerre (1940), agrandi en vue de la guerre contre l'URSS. Il est transformé en camp d'échange 1943-1944, accueillant notamment des Juifs possédant une nationalité de pays neutre comme des Turcs ou des Espagnols de Salonique, des Juifs avec des papiers sud-américains, des Polonais à double nationalité, des Juifs « palestiniens », des femmes françaises de prisonniers de guerre, et leurs enfants, venues de Drancy en mai et juillet 1944, qui sont au camp de l'étoile. D'abord camp de travailleurs, camp d'entrainement de la Wehrmacht, puis dépôt de matériel et d'armes, il est transformé en camp d'internement de prisonniers de guerre (1940), agrandi en vue de la guerre contre l'URSS. Il est transformé en camp d'échange 1943-1944, accueillant notamment des Juifs possédant une nationalité de pays neutre comme des Turcs ou des Espagnols de Salonique, des Juifs avec des papiers sud-américains, des Polonais à double nationalité, des Juifs « palestiniens », des femmes françaises de prisonniers de guerre, et leurs enfants, venues de Drancy en mai et juillet 1944, qui sont au camp de l'étoile. Le 2 décembre 1944 le camp est transformé en camp de concentration par le SS Josef Kramer venu d'Auschwitz avec des Kapos, des SS et des « Souris grises » (auxiliaires féminines de l’armée allemande). Les conditions s'aggravèrent avec l'arrivée de nombreux prisonniers transférés des camps d’Auschwitz, Buchenwald, Ravensbrück, Flossenburg, Mauthausen… devant l'avance des armées alliées. Avec le surpeuplement, la désorganisation, les épidémies, la mortalité est très forte. Les Juifs d'échange du camp de l'étoile, du camp des Hongrois, du camp des neutres et du camp spécial, sont évacués par 3 trains pour Theresienstadt. Le troisième train, « le transport perdu », arrive près de Tröbitz en Saxe le 23 avril. Il est libéré par l'Armée rouge. Le camp fut libéré par les troupes britanniques le 15 avril 1945. La mortalité resta toutefois élevée en raison d'une épidémie de typhus que les Britanniques ne purent circonscrire rapidement faute de moyens et d'avoir perçu immédiatement l'ampleur du problème. Le camp fut finalement mis en quarantaine et les baraques furent brûlées. Les cadavres furent ensevelis dans des fosses communes. Environ 70 000 personnes y ont trouvé la mort, dont 20 000 prisonniers soviétiques. Parmi les victimes, Anne Frank et sa grande sœur Margot Frank, mortes en février (la date exacte reste inconnue) et le 31 mars 1945 à la suite du typhus, et deux anciens députés français : Claude Jordery, mort le 9 février de cette année, et Augustin Malroux, le 10 avril. À partir de juin 1940, des baraquements furent construits pour les prisonniers de guerre, dont les premiers furent 600 soldats français et belges. À partir de mai 1941, il abrite le Stalag 311 (XI C). En juillet 1941, il y a déjà 20 000 prisonniers de guerre soviétiques qui ne sont pas internés dans des baraquements, mais internés en plein air. Les cinq baraques en pierre n'étaient pas encore construites. Jusqu'au début de l'année 1942, sur les 18 000 prisonniers de guerre soviétiques encore présents, 14 000 moururent de froid, de faim et de maladie. Les prisonniers soviétiques restants sont éliminés ou déportés ailleurs en avril 1943, tandis que les Français sont transférés à Fallingbostel. Une petite partie du camp abrite un Lazaret ou hôpital militaire pour de nouveaux prisonniers de guerre, tandis que la plus grande partie du camp est donnée aux SS qui y font venir majoritairement des déportés juifs venus de pays extérieurs à l'Allemagne. Un grand nombre de prisonniers de guerre soviétiques est enterré à un kilomètre du camp. Quatorze stèles rappellent le souvenir de ces 50 000 morts soviétiques (officiellement l'Allemagne en a reconnu ici 23 215). Source Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergen-Belsen Pour en savoir plus |
Régime politique
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Libération
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Note : Le camp est libéré par les troupes britanniques. |
Décès
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Cause du décès : Probablement du Typhus Note : Acte déclaratif du Tribunal de Lannion en date du 7 01 1947. |
père |
1854–…
Naissance : 18 juin 1854
38
34
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Guerlesquin 29067 |
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mère |
1858–1946
Naissance : 3 mars 1858
40
26
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Plouezoc'h 29186 Décès : 20 décembre 1946 — FRANCE;Bretagne;Finistère;Carantec 29023 |
Mariage civil | Mariage civil — 15 juin 1887 — FRANCE;Bretagne;Finistère;Plouezoc'h 29186 |
10 mois
lui |
1888–1945
Naissance : 6 avril 1888
33
30
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Morlaix 29151 Décès : 4 juin 1945 — ALLEMAGNE |
2 ans
petit frère |
1890–1973
Naissance : 2 août 1890
36
32
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Morlaix 29151 Décès : 16 février 1973 — FRANCE;Bretagne;Finistère;Carantec 29023 |
3 ans
petite sœur |
1893–…
Naissance : 17 octobre 1893
39
35
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Morlaix 29151 |
4 ans
petite sœur |
1897–…
Naissance : 16 juin 1897
42
39
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Carantec 29023 |
3 ans
petit frère |
1900–1929
Naissance : 26 février 1900
45
41
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Carantec 29023 Décès : 19 juin 1929 |
lui |
1888–1945
Naissance : 6 avril 1888
33
30
— FRANCE;Bretagne;Finistère;Morlaix 29151 Décès : 4 juin 1945 — ALLEMAGNE |
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épouse |
Détails privés
…–
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Naissance |
Déclaration Etat civil le 8 avril 1888. Témoins: Yves Marie BESCOND (32ans, cultivateur à Plouézoch), signe, Frédéric DUPLAN (58ans, concierge Place Thiers à Morlaix, signe) |
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Arrestation |
Arrêté sur dénonciation |
Déportation |
Le train part de Compiègne (60) le 24.01.1943 , liens utiles: De 1936 à 1945, on estime que 200 000 personnes y ont été internées et que 100 000 y sont mortes. En août 1941, un massacre de masse y a eu lieu avec l'exécution de plus de 13 000 soldats soviétiques, prisonniers de guerre. En dehors des baraquements communs, le camp possédait des baraquements de détention destinés aux personnalités. Parmi celles-ci, on citera :
C'est dans ce camp que Himmler installa son état-major et que l'inspection centrale des SS fit expérimenter ses méthodes d'extermination avant de les faire appliquer dans les autres camps. À la différence de beaucoup d'autres camps nazis, Sachsenhausen fut un camp où peu de juifs furent envoyés. En effet, on y internait essentiellement des prisonniers dits politiques. Des ressortissants de nombreuses nationalités y furent internés, y compris des résistants français. Les détenus étaient utilisés pour l'effort de guerre des nazis et travaillaient alors dans des conditions extrêmement pénibles dans des petites unités souvent extérieures au camp principal et constituant des camps annexes, appelés kommandos. Outre des travaux de manufacture (menuiserie), certains prisonniers devaient réparer le matériel de guerre allemand. Fin avril 1945, le camp fut libéré par l'Armée rouge. De nombreux prisonniers étaient morts entre temps au cours de l'une des nombreuses marches de la mort. Il restait environ 3 000 survivants au camp dont la moitié de femmes. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le camp de Sachsenhausen fut occupé par les Soviétiques, qui y internèrent des petits fonctionnaires du régime nazi et des opposants au régime communiste de 1945 à 1950. On estime à 12 000 le nombre de morts lors de cette période, dus essentiellement aux épidémies et aux mauvaises conditions de détention. Ce camp, qui a été transformé en mémorial (Gedenkstätte, lieux de souvenirs), couvre une superficie de 600 hectares. Source Wikipédia :http://fr.wikipedia.org/wiki/Sachsenhausen Pour en savoir plus: |
Transfert |
D'abord camp de travailleurs, camp d'entrainement de la Wehrmacht, puis dépôt de matériel et d'armes, il est transformé en camp d'internement de prisonniers de guerre (1940), agrandi en vue de la guerre contre l'URSS. Il est transformé en camp d'échange 1943-1944, accueillant notamment des Juifs possédant une nationalité de pays neutre comme des Turcs ou des Espagnols de Salonique, des Juifs avec des papiers sud-américains, des Polonais à double nationalité, des Juifs « palestiniens », des femmes françaises de prisonniers de guerre, et leurs enfants, venues de Drancy en mai et juillet 1944, qui sont au camp de l'étoile. Le 2 décembre 1944 le camp est transformé en camp de concentration par le SS Josef Kramer venu d'Auschwitz avec des Kapos, des SS et des « Souris grises » (auxiliaires féminines de l’armée allemande). Les conditions s'aggravèrent avec l'arrivée de nombreux prisonniers transférés des camps d’Auschwitz, Buchenwald, Ravensbrück, Flossenburg, Mauthausen… devant l'avance des armées alliées. Avec le surpeuplement, la désorganisation, les épidémies, la mortalité est très forte. Les Juifs d'échange du camp de l'étoile, du camp des Hongrois, du camp des neutres et du camp spécial, sont évacués par 3 trains pour Theresienstadt. Le troisième train, « le transport perdu », arrive près de Tröbitz en Saxe le 23 avril. Il est libéré par l'Armée rouge. Le camp fut libéré par les troupes britanniques le 15 avril 1945. La mortalité resta toutefois élevée en raison d'une épidémie de typhus que les Britanniques ne purent circonscrire rapidement faute de moyens et d'avoir perçu immédiatement l'ampleur du problème. Le camp fut finalement mis en quarantaine et les baraques furent brûlées. Les cadavres furent ensevelis dans des fosses communes. Environ 70 000 personnes y ont trouvé la mort, dont 20 000 prisonniers soviétiques. Parmi les victimes, Anne Frank et sa grande sœur Margot Frank, mortes en février (la date exacte reste inconnue) et le 31 mars 1945 à la suite du typhus, et deux anciens députés français : Claude Jordery, mort le 9 février de cette année, et Augustin Malroux, le 10 avril. À partir de juin 1940, des baraquements furent construits pour les prisonniers de guerre, dont les premiers furent 600 soldats français et belges. À partir de mai 1941, il abrite le Stalag 311 (XI C). En juillet 1941, il y a déjà 20 000 prisonniers de guerre soviétiques qui ne sont pas internés dans des baraquements, mais internés en plein air. Les cinq baraques en pierre n'étaient pas encore construites. Jusqu'au début de l'année 1942, sur les 18 000 prisonniers de guerre soviétiques encore présents, 14 000 moururent de froid, de faim et de maladie. Les prisonniers soviétiques restants sont éliminés ou déportés ailleurs en avril 1943, tandis que les Français sont transférés à Fallingbostel. Une petite partie du camp abrite un Lazaret ou hôpital militaire pour de nouveaux prisonniers de guerre, tandis que la plus grande partie du camp est donnée aux SS qui y font venir majoritairement des déportés juifs venus de pays extérieurs à l'Allemagne. Un grand nombre de prisonniers de guerre soviétiques est enterré à un kilomètre du camp. Quatorze stèles rappellent le souvenir de ces 50 000 morts soviétiques (officiellement l'Allemagne en a reconnu ici 23 215). Source Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergen-Belsen Pour en savoir plus |
Libération |
Le camp est libéré par les troupes britanniques. |
Décès |
Acte déclaratif du Tribunal de Lannion en date du 7 01 1947. |
Naissance | |
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Profession | |
Profession | |
Arrestation | |
Objet média
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media/Landouar Yves Marie.JPG |